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22/03/2013

Les 3e2 "font leur presse"

Dans le cadre de l'opération "La Saône et Loire fait sa presse", le JSL a publié le 11 mars les articles écrits par les élèves de 3e2 sur le thème de la solidarité, dans le cahier local; certains ont été retenus pour le site du quotidien; enfin, certains seront peut-être sélectionnés pour une seconde publication, dans le cahier départemental, pendant la semaine de la presse. Nous félicitons ces élèves qui, pour la plupart, se sont prêtés au jeu de l'écriture avec sérieux et enthosiasme.

FS et MA

18/03/2013

Solidarité au collège Vivant Denon

 Des élèves de 4ème du collège de Saint-Marcel ont répondu à notre enuête. La majorité des adolescents définissent la solidarité comme étant de l'entraide (100%) et 92% d'entre eux la pratiquent. Ils associent également la solidarité au don du sang (50%) ainsi qu'aux associations (50%). Aux personnes en difficulté, les élèves donneraient en priorité de la nourriture (92%), un logement (58%) et de l'argent (58%). 92% des élèves déclarent que leurs parents font preuve de solidarité au moins une fois par mois.

Mélissa, Lucie, Katia

UNICEF : PORTRAIT DE SEKOU OUMAR DIARRA

 

SEKOU OUMAR DIARRA, né en 1956 a vécu avec ses quatorze frères et sœurs et sa belle mère à Sébékoro, une commune rurale. Sa mère biologique est décédée alors qu'il avait moins d'un an.

Depuis sa plus tendre enfance, il souhaitait marcher dans les pas de son père qui était cheminot conducteur de trains.

 

Élève moyen, Sekou Oumar poursuit ses études jusqu'à l'université de Grenoble en France.

Il fait le choix de ses études afin de contribuer à la construction de la politique linguistique de son pays d'origine : le Mali, lancé alors dans la valorisation des langues nationales à l'école.

Il décroche son bac à vingt ans, la maitrise à vingt-cinq ans et à l'obtention de son doctorat, il fait ses premiers pas dans le monde professionnel comme enseignant linguistique dans un lycée à Mapti.

 

A l'UNICEF ( vient de l'anglais « The United Nations Children's Fund » ce qui signifie « Fonds d'Urgence des Nations Unies pour l'Enfance » ) sa première mission consistait à évaluer un projet de développement urbain dans le district de Bamako ainsi qu'à mesurer les impacts économiques et sociaux que ce projet pourrait avoir sur les populations vulnérables des quartiers périphériques de la ville.

 

De ses nombreuses missions, la plus marquante fut la protection d'enfants vivant dans les villages frontaliers de la Côte d'Ivoire.

En revanche la plus dangereuse fut la visite au camp des réfugiés du conflit en Côte d'Ivoire.

Aujourd'hui encore, Sekou Oumar aime son travail : aider les enfants démunis ou affectés par les crises de leur pays est pour lui une tâche noble. Sa mission actuelle a pour but d'entourer les enfants touchés par la crise du Nord du Mali.

 

A l'avenir, son projet sera de poursuivre et d'améliorer les mécanismes communautaires aidant à secourir les enfants victimes d'abus et de violences.

Au cours de sa retraite son souhait serait de se retirer à la campagne pour s'occuper de l'environnement, mais aussi « écrire pour aider les acteurs humanitaires. »

 

FANTA KIDA, LEONIE CARTALLIER, ALEXIS LESCHELET, LOUIS PENNARGUEAR

Interview : Mme Marie-Christine Gonot bénévole à la soupe populairede la note

 

Question 1 : Pourquoi et comment être devenue bénévole ?

M.C.G : J'ai choisi de devenir bénévole car j'ai la chance d'avoir du travail la journée donc en retour je viens apporter du réconfort et de la chaleur humaine aux personnes dans le besoin. Il faut s'aider et penser aux autres, êtres tous solidaires. Il y a une quinzaine de bénévoles qui ont tous les âges.

 

 

Question 2 : Comment fonctionne la soupe populaire ?

M.C.G : Des repas chauds sont servis gracieusement tous les soirs pour aider les nécessiteux. La soupe populaire leur permet de prendre un repas chaud chaque soir pour seulement 50 centimes. Elle ouvre ses portes du 1er décembre au 31 mars chaque jour de 18h30 à 20h Espace Philadelphia, 10 rue de Dijon, à Chalon sur Saône.

 

Question 3 : Quelles sont les origines de la soupe populaire ?

M.C.G : La soupe a été crée en 2005, à l'initiative du Pasteur Alain SIVASLEIAN. Elle permet aux personnes en difficulté d' être accueillies avec respect, qu'elles trouvent du réconfort, de la chaleur, un repas ainsi qu'une aide sanitaire, médicale, psychologique, administrative et juridique.

 

Thomas Renaud, Quentin Genelot

 

Sans-abris : quelle solution ?

 En France, environ 150 000 personnes vivent dans les rues. Parmi elles, 15 000 souffrent de problèmes de santé sans aucun moyen pour se soigner. Des sans-abris meurent chaque jour. Ils étaient 400 en 2012 et déjà une trentaine depuis le début 2013. Pendant l'hiver des centres d'hébergement ouvrent leurs portes et plusieurs mesures d'aide sont prises envers les plus démunis. Mais souvent, les SDF refusent d'y aller car leurs animaux n'y sont pas acceptés. Parfois les sans-abris ne se sentent pas bien dans ces centres où ils manque d'intimité... Alors ils fréquentent des squats comme les cages d'escaliers, les bouches de métro ou encore la forêt. Ils sont expulsés par les services de police. Même s'ils passent l'hiver dans un centre d'hébergement, ils ressortiront toujours dans la rue. Les décès des sans-abris sont plus fréquents l'été, surtout en août. Lorsque les températures remontent, plus de 2 000 centres d'accueil ferment pour cause de rénovation ou ce sont les bénévoles qui partent en vacances. Pourtant, le premier ministre Jean-Marc Ayrault dit vouloir « changer les règles du jeu » et « faire en sorte que les centres d'hébergement restent ouverts toute l'année, que ce ne soit pas le thermomètre qui décide à notre place ». Les personnes qui vivent dans la rue sont oubliées, laissées de côté. Un sans domicile fixe vit environ 46 ans alors que l'espérance de vie est estimée à 80 ans. Faites un geste, un don à une association.

 

Sarah Cardot et Mélody Bretin

Interview de Georges Laurent, membre d'une association de don d'organes en Saone et Loire

 Parlez-nous de vous :

Je m'appelle Georges Laurent . J'ai subit une greffe cardiaque le 1 er septembre 1999 suite à une malformation cardiaque , J'ai eu un traitement durant 4 mois et demi, En juin j'ai fait un malaise et à été admis sur la liste d'attente des greffes

 Bonjour, Pouvez vous nous expliquer votre rôle dans le don d'organes ?

Bonjour, mon rôle sert uniquement à l'information, De la prévention également, je passe régulièrement dans les collège et lycée pour expliquer l'importance du don d'organe,

 Pourquoi est il si important de donner ?

Il est important de donner car actuellement en France plus 1600 personnes sont en attente d'une greffe, 350 en sont décédées en 2012, Il faut savoir qu'il y a plus de demandeur que de donneur car l'arrêt d'un organe peut arriver à n'importe qui,

 Comment donner ?

Il suffit d'en informer la famille car seule elle peut décider de vous débrancher en cas de mort encéphalique ,

 Qui peut donner ?

Tout le monde, il suffit d'avoir une bonne santé (pas de cancer sur l'organe atteint, pas de séropositivité ,,) Attention, un enfant ne peut pas donner à un adulte (et inversement) car la taille de l'organe n'est pas la même ,

 Y a-t-il des risques ? (Rejets, infections ...)

Il y a des risques d'infections mais cela se soigne rapidement avec des traitements,

 A partir de quand peut on donner ? A partir de quel âge ?

Le plus jeune donneur en France avait 14 mois, on peut donner jusqu'à 90 ans,


C. Moingeon et

Club solidarité de Hilaire de Chardonnet : voyage au Burkina Faso de la note

 

Un groupe de vingt-deux personnes, composé de quinze jeunes et sept adultes, sont partis en octobre 2012 au Burkina Faso pendant les vacances de la Toussaint, pour venir en aide aux jeunes Burkinabés (installation d'électricité dans une école, don de matériel).

Un voyage ne s’organise pas comme ça !

Un an de préparation morale et physique a été nécessaire. Des travaux pratiques ont été effectués : exposés, recherches sur le pays, les conditions de vie… Ces efforts ont été récompensés par un accueil chaleureux dans les différents villages. Les élèves ont observé les classes pour s’informer sur l’éducation : « Là-bas, les cours se font énormément à l’oral, particulièrement en français. Ils n’ont pas du tout la même éducation que nous. », nous confie Adrien, lycéen, adhérent du club. « Chaque matin, le professeur leur dicte une leçon de morale. C’est peut-être là d’où provient leur sens de l’hospitalité. » Des animations ludiques ont été pratiquées : chasse au trésor, danse, judo, premiers secours. Après deux semaines à leurs côtés et une journée de visite, la séparation était difficile. « Finalement, c’est là que tout s’achève, nous avons tous été très émus », nous raconte Denise Bousquet, la présidente du club. « Deux semaines passées pour finalement rien donner mais tant recevoir ! ».

Depuis 2002, le club agit sur plusieurs pays : les Philippines, Haïti, le Vietnam, le Niger, et récemment le Burkina Faso. Leur prochain voyage se ferait en février 2014. La destination n’est pas encore décidée. Pour plus d'informations sur ces voyages, consultez leur site : http://clubsolidarite-hilaire.blogspot.fr/.

Candice Bourgeon et Fanny Tavernier

15/03/2013

Dépollution Les nouveaux kamikazes de Fukushima

 Suite à la catastrophe de la centrale nucléaire de Fukushima le 11 mars 2010, causée par un séisme, des personnes, majoritairement japonaises, se sont présentées pour décontaminer la zone polluée.

Elles viennent généralement pour réaliser un geste patriotique et même international. Mais l’argent est aussi une motivation. Cette tâche permet d’obtenir une prime en plus de leur salaire, ce qui permet de mieux faire vivre leur famille.

Grâce à ces volontaires, la radioactivité peut baisser mais le risque pour leur santé est élevé.

La solidarité au péril de leur vie

Il n’est pas rare qu’un décontaminateur développe un cancer suite à cette opération. Leurs conditions de travail sont certes strictes mais cela n’empêche pas la contamination. Ils vont donc intervenir en sachant qu’ils n’en sortiront pas indemnes.

Cette affaire rappelle fortement celle d’Hiroshima. Même 68 ans après, la radioactivité n’est pas complètement partie. Les décontaminateurs de cet endroit sont généralement morts des suites d’un cancer. Les habitants du secteur ont subi le même sort que les « kamikazes ». Ces personnes qui se sont sacrifiées ou qui se sacrifient en ce moment même permettent d’éviter le pire pour la Terre. 

par Elias Semlali et Jean-Baptiste Morrone.

 

Le sang c'est important.

 

Donner son sang est un acte connu de tous, qui sauve 1 million de vies par an mais qui pourtant n'est effectué malheureusement que par très peu de français.

Le don du sang regroupe deux associations : « L'amicale des donneurs de sang » et « L'établissement français du sang ». La différence de ces deux associations est que « L'amicale » est uniquement bénévole alors que l'EFS engage des salariés qui travaillent ensemble « main dans la main » comme le souligne un médecin d'un des centres. (Médecins et infirmières).

On récolte le sang dans ces centres de prélèvement ou dans les hôpitaux. Les donneurs doivent être majeurs, peser plus de 50 kg et être reconnus aptes par le médecin du centre.

Lorsque l'on demande aux personnes aptes non-donneuses pourquoi elles ne donnent pas leur sang, la plupart répondent généralement par manque de temps. Mais est-ce un comportement responsable envers les malades ? Est ce que prendre 45 minutes pour sauver une vie est une perte de temps  ?

On sait que seulement 4% des français donnent leur sang, que 98% pensent que cela permet de sauver des vies et que 88% considèrent cela comme un acte facile à faire. Le chiffre du nombre de donneurs est vraiment ridicule comparé au nombre de personnes qui pourraient potentiellement le faire. Il suffirait d'un don supplémentaire par an et par personne pour répondre à l'augmentation des besoins des malades.

Les donneurs pensent eux aussi que donner leur sang est un acte de solidarité envers les malades et qu'il faudrait que la population fasse preuve de fraternité et prenne un peu de son temps pour aller donner son sang.

De nombreuses morts particulièrement chez les enfants pourraient être évitées si le nombre de donneurs était suffisant.

 

 

Guillaume Salamagne,Antoine Noël, Timothé Sauvaget

Hilaire de Chardonnet : Question d'engagement

 Contrairement aux idées reçues, les adolescents n'oublient pas toujours d'être solidaires. L'exemple avec le club d'Hilaire-de-Chardonnet.

Au lycée Hilaire-de-Chardonnet, à Chalon-sur- Saône, ils sont 20 élèves à oeuvrer. En effet, un « club solidarité » a été créé par Denise Bousquet, professeur de sciences économiques et sociales (SES) en 2000. Le but premier de l'association est d'apporter son soutien à des pays en voie de développement. Ici l'éducation manque cruellement de ressources (collecte et envoi de matériel), les conditions de vie sont précaires et la pauvreté règne.

Généralement les adolescents qui s'inscrivent ont envie d'aider et de se sentir utiles envers les autres. Ils veulent être de « bons citoyens » ; comme nous le dit Adrien, 17 ans, adhérent au club : « A la base, je suis déjà jeune sapeur-pompier et la solidarité me passionne. Un grand nombre de personnes dans ma famille travaille dans ce milieu. Et Denise m'a énormément encouragé à me faire confiance, j'ai donc rejoint le club ! »

Leur dernier voyage a eu lieu en Octobre 2012, au Burkina Faso.

Célia Combémorel et Marie Foldyna

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